Catégorie : Non classé

Le dimanche 27 octobre, j’ai eu le plaisir de participer au salon du livre des auteurs indépendants de Marseille.

Venant d’un pays au climat plus capricieux, j’ai découvert, avec étonnement, qu’au mois d’octobre, sous le soleil phocéen, nos deux organisateurs dynamiques (Franck Esposito et Bertrand Peillard) avaient choisi l’option extérieure.

Nous étions installés dans un patio ensoleillé de la faculté de droit avec portes ouvertes sur La Canebière. En Marseillais avisés, nos deux hôtes avaient tout prévu y compris le couvre-chef adapté. L’ambiance était en accord avec la luminosité et la joie de vivre latine.

Le flux ininterrompu de visiteurs m’a permis d’échanger avec des lecteurs, des auteurs et des blogueurs et en particulier Laurent Fabre, Jessica Barrial et Florian Allain, chroniqueur littéraire brestois installé à Marseille. Je vous invite à surveiller assidument mes futures publications sur les réseaux sociaux, ces amoureux des livres vous proposeront prochainement de superbes concours offrant à la clé des ouvrages des écrivains présents à Marseille.

Avec Jacques et Jacques-Line Vandroux, nous avons partagé la même table dans les rires et la bonne humeur. Jacques écrit des thrillers, j’écris des récits nettement moins oppressants et Jacques-Line peut vous révéler toutes les techniques de l’auteur indépendant chevronné. Notre trio a fonctionné à merveille !

J’ai repris la route vers ma Bretagne, la tête emplie de beaux moments et prête à affronter le choc thermique.

Je vous attends à l’abri au Salon du livre A livres ouverts à Brest-Expo, les 16 et 17 novembre prochains.

Gabrielle Desabers

La première réponse qui me vient à l’esprit se résume en deux mots : par impatience et par peur.

J’ai mis très longtemps à oser sortir mes écrits de l’ombre, mais quand je me suis décidée, je ne concevais pas d’attendre 6 mois qu’un éditeur finisse par me transmettre une lettre formatée et probablement négative. En effet, certains d’entre eux reçoivent jusqu’à 500 manuscrits par jour. Étant donné que je n’avais participé à aucune télé-réalité et que je ne pouvais me prévaloir d’un nom connu, je doutais fortement que mon roman émerge de l’anonymat. De plus, je rêvais que mon histoire soit jugée par des lecteurs lambda et non à l’aune d’une quelconque stratégie commerciale. J’avais bien conscience que les maisons d’édition n’ayant pas un but philanthropique, mon livre se devait de leur apporter de l’argent dans les caisses. Mon humilité ne me permettait pas d’imaginer que j’avais rédigé le prochain best-seller.

En revanche, une émission télévisée m’avait fait découvrir la plateforme Amazon KDP qui m’offrait la possibilité de vendre en direct mes écrits en quelques clics.

Ainsi je calmais mon impatience, mais je n’avais pas encore compris que je ne supprimais pas l’angoisse.

Effectivement, je m’épargnais les refus successifs et déstabilisants des éditeurs, mais je n’évacuais pas la crainte de ne pas rencontrer mon lectorat. Au contraire, j’y étais confrontée de plein fouet. J’ai attendu les premières ventes fébrilement et j’ai scruté l’arrivée des premiers commentaires, la peur au ventre.

Voilà pourquoi j’ai opté pour l’autoédition, mais après 9 romans en auteur indépendant, je peux pousser la réflexion plus loin. En effet, depuis le début de mon aventure, des maisons d’édition m’ont courtisée. J’ai donc été confrontée à des négociations, des demandes de modifications de mes écrits (pour tenter de les faire correspondre à telle ou telle ligne éditoriale), des tergiversations de comités de lecture, des contacts sans suite et enfin à la signature d’un contrat pour un de mes livres. C’est ainsi que maintenant, je peux expliquer ce qui me conforte dans mon choix.

Après avoir passé presque un an à construire une histoire, j’ai envie de garder la maîtrise de ma création. Je ne veux pas que lui soit affublé un titre et une couverture qui ne me plairaient pas. L’expertise des maisons d’édition n’est pas à mettre en doute, mais après avoir peaufiné mes mots et mon récit pendant de longs mois, j’ai beaucoup de mal à abandonner toute participation au paquet cadeau que verra en premier l’hypothétique lecteur. J’exclus l’idée de ne pas m’appuyer sur de vrais professionnels du sujet, mais je souhaite déléguer et non pas perdre toutes libertés. Je me suis entourée de bêta-lectrices, d’une correctrice, d’un graphiste. J’ai choisi un diffuseur pour pouvoir proposer mes romans en librairie et j’ai commencé également à professionnaliser ma communication.

En effet, j’aime écrire et je n’ai pas envie de me disperser sur tous ses postes que je ne maîtrise pas suffisamment. Je ressens la nécessité de travailler avec une équipe bienveillante et efficace. Mais mon expérience en maison d’édition ne m’a absolument pas convaincue. J’ai dû batailler sur plusieurs points. Et la valeur ajoutée, dans la communication et la promotion que j’espérais, n’a jamais été au rendez-vous. J’ai constaté que dans ce cadre comme dans celui de l’autoédition, je ne pouvais compter que sur moi-même. J’ai le sentiment d’avoir cédé une partie de mes droits sur un de mes romans sans réelle contrepartie.

C’est pourquoi depuis, je n’attends plus comme le Saint Graal qu’un éditeur me propose ses services. Je suis de plus en plus convaincue que l’édition indépendante a encore quelques beaux jours devant elle.

En parlant d'autoédition, je serai présente au salon du livre des auteurs indépendants de Marseille, ce dimanche 27 octobre de 10h à 18h. Au programme : rencontres, débats, dédicaces...

Gabrielle Desabers

Le mardi 8 octobre, je me suis dirigée avec joie vers Paris, pour la quatrième année, j’étais conviée à la remise des prix des plumes francophones.

Bien sûr, je garde une tendresse particulière pour la cérémonie de 2016, lors de laquelle je recevais avec émotion la plume d’argent en présence de Guillaume Durand pour mon roman D’ici ou d’ailleurs.

Puis, en 2017, j’ai découvert l’exaltation qu’apporte la participation à un jury littéraire. Les analyses et les débats autour des œuvres d’auteurs, tous emplis de talents, m’ont passionné. Les échanges avec Yasmina Khadra m’ont enchanté.

En 2018, la société des gens de lettres ouvrait ses portes à la cérémonie autour de Bernard Werber.

En ce mois d’octobre, c’est Aurélie Valognes qui présidait cet événement. Comme à l’accoutumée, l’accueil de l’équipe d’Amazon Kindle Direct Publishing était parfait. J’ai eu le plaisir, en compagnie de Théo Lemattre, de partager avec l’auditoire mon expérience de l’autoédition.

Les trois prix ont été attribués à :

J’espère que votre été et que votre rentrée se sont bien passés et que vous êtes prêts pour vivre à mes côtés une fin d’année rythmée !

En effet, j’ai le plaisir de participer à plusieurs salons du livre et ainsi vous annoncer plusieurs dates à noter dans votre calendrier.

Salon du Croisic, les 21 et 22 septembre 2019

D’après le site de l’office de tourisme du Croisic, « le salon du livre du Croisic possède un thème général récurrent « Le monde maritime » avec un éclairage différent chaque année : en 2015 « les écrivains et la mer » ; 2016 « La plaisance » ; 2017 « Jules Verne et la mer », 2018 « Mer fragile, mer nourricière ».

Cette 23e édition s’intéresse à la mer et l’Histoire, les histoires de mer et de marins, de bateaux et de ports… Plus de quarante écrivains sont attendus.

Au programme : des expositions, des conférences, une balade historique et littéraire, le prix littéraire Plume d’Équinoxe Océarium, des chants de marins, des entretiens avec les auteurs, des tables rondes, des dédicaces, une dictée, un quizz, etc. »

Cette année le salon se déroulera aussi vers la médiathèque et la salle Jeanne d’Arc.  En parlant de la salle Jeanne d’Arc, le dimanche 22 aura lieu une dictée sur le thème de la mer débutant à 10h précises. Je vous conseille de vous inscrire car la priorité sera donnée aux inscrits sur le site internet de la ville. Vous êtes intéressé(e) ? Cliquez ici pour compléter le formulaire d’inscription.

Avec ce thème tournant autour du "monde maritime", j'aurai plaisir à vous présenter le roman "J'ai demandé au hasard" racontant l'histoire d'une famille de marins pêcheurs...

Alors ? On se donne rendez-vous au Salon du livre de la Ville du Croisic Plumes d’Équinoxe ?

Salon de Marseille, le 27 octobre 2019

Petit tour dans le Sud du côté de Marseille pour participer au salon du livre des auteurs indépendants. Au programme : rencontres, débats et dédicaces. Amis Marseillais, Sudiste, je vous attends nombreux pour échanger avec vous et écouter votre accent que j’aime tant !

Le site LabelSud nous invite à venir découvrir «  les nouvelles plumes de ce vivier en pleine effervescence et partager un moment de convivialité avec les auteurs présents sur le salon, accessibles et proches de leur lectorat. Policier, thriller, romance, littérature jeunesse, science fiction, fantasy… Et bien d’autres surprises encore vous y attendent.

Organisé par l’association Label Sud, ce premier Salon réunira des auteurs, des professionnels du livre afin de valoriser la littérature contemporaine francophone et permettre au public de découvrir tous les aspects des nouvelles technologies qui aujourd’hui n’ont jamais autant rapproché auteurs et lecteurs. »

Vous pourrez même me retrouver lors d'une conférence intitulée « Quand les secrets de famille sont source d’inspiration ».

Salon de Brest, les 16 et 17 novembre 2019

Lieu : Brest Expo. Route de Brest, 29200 Brest

Horaires :

Samedi : 14h – 19h

Dimanche : 10h – 18h

Tarifs :

+ 12 ans = 3€

- 12 ans = GRATUIT

Forfait 2 jours = 4€

Le salon du livre – A livres ouverts à Brest, vous permettra de rencontrer des auteurs indépendants, auto édités, des associations littéraires, des libraires, des maisons d’éditions, des magasins spécialisés et des grandes enseignes.

D’après Mapado, « Toutes les catégories littéraires y seront représentées : de la littérature jeunesse, BD, mangas, fantasy, SF ; en passant par la poésie, romans et nouvelles, carnets de voyage et livres audios
Au programme : des animations autour du conte, du théâtre, de la poésie et du slam et des ateliers d'écriture et de dessin »

Vous l'avez peut être vu sur ma page Facebook ?

J'ai décidé d'investir le réseau social tendance Instagram ! N'hésitez pas à me suivre pour y découvrir photos de paysages, nature... & découverte.

Je vous dis à bientôt,

Gabrielle Desabers

Et remercier encore plus spécialement Les Mille et une pages et Lynda Massicotte pour la chronique parue le 22 juin 2019 sur leur site internet.

Si le premier tome, Parfois si proche fut un coup de cœur pour moi, le 2e tome l'a été encore plus, quelle histoire, quelle lecture et quel talent que possède Gabrielle Desabers.

La chronique vous dévoile quelques secrets de "Parfois si loin", tout en gardant suspens, intrigue et révélation ! Vraiment top ! 👍🏼

Je ne vous raconterai pas l'histoire, ce serait trop dommage de le faire. Par contre, je peux vous dire que cette lecture m'a fait vivre une gamme complète d'émotions. J'ai eu peur pour Emma, pour Nouri. J'ai pleuré en même temps que les parents. Si le premier tome, Parfois si proche fut un coup de cœur pour moi, le 2e tome l'a été encore plus, quelle histoire, quelle lecture et quel talent que possède Gabrielle Desabers.

Lynda Massicotte a apprécié mon nouveau roman, je voulais lui dire MERCI mais je voulais aussi vous partager sa critique. Vous pouvez la retrouver en cliquant ici 📲

Pour commander votre kindle ou votre livre broché "Parfois si loin", rendez-vous sur Amazon, ou cliquez directement ici 😉

Comme vous le savez sûrement déjà, le Tome 2 "Parfois si loin" est sortie la semaine dernière en vente exclusive sur Amazon au format e-book. Nous vous avions d'ailleurs proposé la semaine avant la sortie, en exclusivité, la 4ème de couverture et quelques premières pages de mon nouveau roman. Vous ne l'avez pas vu ? N'hésitez pas à cliquer ici pour visionner l'article 😉

Vous avez déjà été très nombreux à tourner les pages de "Parfois si loin" sur votre kindle et je tenais sincèrement à vous remercier pour votre fidélité et votre soutien !

Certains ont même noté mon nouveau livre avec 5 étoiles sur Amazon (n'hésitez pas à faire de même, si ce dernier vous a plu évidemment 😜). Ils ont laissé des commentaires fort sympathiques et j'ai voulu vous les partager  ci-dessous :

C'est encore une fois avec énormément de plaisir que je m'apprête à sortir un nouveau livre : Parfois si loin. Il s'agit du Tome 2 du premier roman "Parfois si proches". Vous souvenez-vous de la fin ?

— Commandant Miossec ?

— Oui, lui-même.

— C’est Romain Madahvi. Emma est rentrée hier soir de Marrakech, elle nous a demandé de profiter de quelques heures avec Nouri en s’engageant à revenir dormir chez nous dernier délai à minuit. Nous venons de nous apercevoir qu’elle n’a pas défait son lit.

— Merde ! Baraz Madahvi a également disparu cette nuit !

Voici en avant première la 4ème de couverture de "Parfois si loin" :

La famille de la jeune fille est convaincue de l’implication de Baraz. Cet individu dangereux l’a enlevée pour exercer froidement sa vengeance au-delà des années.

De son côté, le commandant Miossec, intrigué par l’absence de Nouri, explore également l’hypothèse qu’Emma ait suivi les deux hommes de son plein gré. Le petit ami d’Emma est-il la victime ou le complice ? Jusqu’où peut aller une jeune fille par amour ?

Face aux tergiversations des forces de l’ordre, Romain se lance dans sa propre enquête, persuadé qu’il doit agir vite s’il veut sauver sa fille des griffes de cet être nocif. Plus que jamais les vies d’Emma et de Nouri sont étroitement liées et ils vont découvrir à quel point leurs choix déterminent leurs destins.

Sortiront-ils indemnes de cette aventure ?

Pour vous, lecteurs, voici les quelques premières pages de mon nouveau roman !

Ça y est, c'est officiel : la suite de Parfois si proches sortira officiellement le 23 mai 2019.

Et donc, ce n'est pas si loin ! 😉 Vous pouvez découvrir ci-contre la couverture de ce roman. Le précédent s'était arrêté en pleine action, sur une double disparition :

La famille de la jeune fille est convaincue de l’implication de Baraz. Cet individu dangereux l’a enlevée pour exercer froidement sa vengeance au-delà des années.

De son côté, le commandant Miossec, intrigué par l’absence de Nouri, explore également l’hypothèse qu’Emma ait suivi les deux hommes de son plein gré. Le petit ami d’Emma est-il la victime ou le complice ? Jusqu’où peut aller une jeune fille par amour ?

Face aux tergiversations des forces de l’ordre, Romain se lance dans sa propre enquête, persuadé qu’il doit agir vite s’il veut sauver sa fille des griffes de cet être nocif.

Plus que jamais les vies d’Emma et de Nouri sont étroitement liées et ils vont découvrir à quel point leurs choix déterminent leurs destins.

Sortiront-ils indemnes de cette aventure ?

Je reviens vers vous très prochainement pour cette sortie !

En exclusivité, voici un court extrait 😉